
Certes, le public était moins nombreux que la semaine précédente où la librairie l'Histoire de l'œil accueillait Robert Mc Liam Wilson, dont Brice Matthieussent a traduit plusieurs livres. Mais l'esprit de revanche n'est pas de mise et, ce jeudi 4 mars, Vengeance du traducteur donne lieu, entre autres, à une digression sur le travail de traduction, l'impossible "translation" d'une langue à l'autre : en somme, une œuvre traduite est une œuvre inédite à l'auteur fantôme, errant dans un une zone muette où les langues se frottent sans se confondre.
Fragments sauvés du No word's land :
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